Raconter des histoires, voila peut-être ma vraie vocation. C’est un goût qui remonte à loin, et qui a pris la forme de l’écriture au moment de mon adolescence. Poèmes, écriture automatique, courts récits, débuts de nouvelles, etc.
Avec un groupe d’amis très chers, nous commettons au milieu des années 70 plusieurs courts-métrages foutraques et iconoclastes où nous revisitons à notre manière les grandes thématiques du cinéma (SF, Horreur)ou nous jouons avec les possibilités d’une belle caméra (une Beaulieu) pour faire du stop motion, ou des « effets spéciaux ».
La découverte approfondie de la SF au début des années 70, la lecture assidue de Jacques Sternberg (que j’ai rencontré plus tard en 1984) me pousse à l’exercice du conte bref (short short stories), et de la nouvelle. J’en écrit une bonne centaine entre le milieu des années 70 et la fin des années 80, que je retravaille et regroupe dans un petit livre privé nommée « Chutes Libres« .
Au début des années 80, je commets un scénario de BD (Tigre, Tigre), que je vais essayer de transformer en album (sans succès !). J’écrirais un nouveau scénario de BD (le Trésor de la Grande Muraille), et d’autres synopsis, aujourd’hui encore inaboutis.
Après avoir rencontré Jean-Claude MEZIERES en 1990, je me lance avec lui et son compère Pierre CHRISTIN dans un projet de dessin animé « Les Enfants d’Eole« .
Avec l’aide de la société de production « Culture Production« , dirigée par mon ami Jean DRUON, avec laquelle j’avais collaboré dans le montage d’un documentaire sur l’Intelligence Artificielle en 1989, nous montons un dossier pour bénéficier d’une aide à l’écriture. Nous bénéficions de l’aide d’un spécaliste du décor et du layout, à savoir Daniel CACOUAULT, et les bienveillants conseils de Bibo Films.