Après l’échec de Lionel Jospin en 2002, je décide d’investir le PS en vue de faire évoluer de l’intérieur le parti vers une position social-démocrate assumée. Je m’inscris donc à la section de Cergy.
L’expérience, humaine comme politique, fut très enrichissante.
J’ai pu côtoyer des hommes et des femmes sincères, quels que soient leurs courants d’attache et généreux de leur temps.
Proche de la gauche Rocardienne, de DSK et de son courant « Socialisme et Démocratie », j’écris pendant cette période plusieurs contributions dans le journal de la section de Cergy ou de la Fédération du Val d’Oise.
L’époque le permet puisque de nombreuses élections ont lieu, dont les 2 référendums sur le Traité Constitutionnel, interne et national.
J’écris en 2005 une contribution thématique pour le congrès du Mans sur le thème de l’impact des TIC sur les pratiques politiques.
Les primaires et les élections présidentielles de 2007 constituent un moment de vie militante importante, qui l’ont vue s’achever cependant.
Je quitte en effet le PS le 16 novembre 2006, date à laquelle est choisie Ségolène ROYAL comme candidate du PS pour l’élection présidentielle. Je quitte de fait le parti le soir même, par cohérence. En effet, sachant que Mme Royal n’aurait jamais ma voix, je ne pouvais décemment pas militer dans un parti dont je ne soutiendrais pas le candidat.
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