Après le PS

Après avoir quitté le PS en 2006 pour cause d’incompatibilité entre moi et la candidate choisie, je « milite » cependant activement pendant cette campagne, sur les blogs et par mail, en tentant d’expliquer pourquoi je ne voterai par Royal, et me faisant l’avocat de la cause de François Bayrou, seul rempart à mes yeux (et à celui de 18% de la population électorale !) contre les 2 « catastrophes » que seraient Sarkozy ou Royal.

A l’issue de l’échec de Ségolène Royal, j’écris deux textes à destination du courant Strauss-Kahnien (avant qu’il ne se déchire), l’un sur la nécessité d’être des socialistes du réel, et l’autre sur « l’individu promu ».